Sunday, 30 November 2025
Why Do So Many Women Hate Female Politicians?
Saturday, 29 November 2025
MOA: How Carney Is Totally And Thoroughly Fucked.
Pablo estime que c'est Rizqy qui a mis l'UPAC dans le décor.
Tuesday, 25 November 2025
Rizqy c. Hinse : qui a commis une négligence grave, voire un crime ?
Sunday, 23 November 2025
Pablo sur Tout le monde en parle.
Pablo s'en est bien sorti. Il a gardé son sang-froid.
Mais quant à la suite, le chef acceptera-t-il de permettre à un conseil général d'examiner le rapport de l'enquête indépendante et d'en ratifier les conclusions ? À mon avis, ce serait une bonne idée qui confirmerait son respect envers les militants et les membres du parti. Cette demande semble provenir de militants qui n'ont pas soutenu Pablo comme candidat. Ce détail est important, mais il ne remet pas en cause la crédibilité de la demande.
Quant à la possibilité d'un vote de confiance envers le chef, je ne pense pas que ce soit approprié à ce stade. Tout dépendra du rapport d'enquête externe. Rodriguez a déjà déclaré que les personnes impliquées qui seront reconnues responsables, sur la base de preuves, seront exclues du parti. Je suis d'accord avec cette conclusion.
Saturday, 22 November 2025
Crise au PLQ : Rodriguez ne comprend pas.
Rodriguez ne comprend rien à cette crise interne au sein de son parti. La période où un parti politique pouvait menacer la presse de poursuites judiciaires est révolue depuis longtemps. Nous ne sommes plus à l'époque de Duplessis, et il semble que Pablo n'ait aucune idée de la manière dont le chef d'un parti politique devrait se comporter.
La liberté de la presse et la confidentialité de ses sources ne sont pas des principes exceptionnels dans notre droit. Ce sont des libertés fondamentales dans une société libre et démocratique. Comme le chef semble naïf et trop fier sur le plan personnel, je vais lui expliquer que toute poursuite judiciaire contre Le Journal de Montréal laissera un mauvais goût dans la bouche du grand public et donnera l'impression qu'il y a vraiment quelque chose à cacher dans cette affaire.
Il est déjà assez grave que les mises en demeure poussent comme des champignons parmi les personnes les plus étroitement impliquées dans ce scandale politique. Il n'appartient pas au Journal de Montréal de fournir au PLQ les noms de ceux qui ont écrit ces SMS ou de révéler les sources à l'origine de leurs reportages.
Cette question devra être traitée dans le cadre des différentes poursuites en diffamation déjà en cours de part et d'autre. Il appartiendra aux juges de se prononcer sur ces points au cours des enquêtes et auditions. Il s'agit de poursuites personnelles, et non de poursuites potentielles intentées par un parti politique.
Rodriguez ferait mieux de se concentrer sur l'enquête externe sur cette affaire, qui a été commandée par le chef lui-même. C'est le seul cadre légitime pour les discussions politiques et les commentaires des politiciens.
Wednesday, 19 November 2025
Rodriguez est-il en difficulté à cause de ses organisateurs ?
L'allégation est très claire : selon plusieurs sources, certains membres du parti auraient reçu des pots-de-vin de 100 dollars chacun pour voter en faveur de la candidature du chef actuel. Le directeur général des élections mène actuellement une enquête. Pour ma part, je ne m'implique pas dans la recherche de l'auteur des deux SMS. Il s'agit là d'un faux débat. Quoi qu'il en soit, l'important est de découvrir qui est à l'origine de cette situation grave et s'il s'agit d'un complot des organisateurs ou d'un acte individuel.
Cela nous amène au débat sur qui savait et, plus important encore, qui aurait dû savoir. Les faits nous amèneront-ils à conclure à un aveuglement volontaire ? Nous verrons bien. Je pense que c'est une question très importante, et nous devrons déterminer qui est responsable et quelles mesures correctives seront prises.
Je peux vous dire que le soir de son élection à la tête du parti, j'ai vu quelqu'un qui était peut-être un organisateur de la campagne de Pablo essayer d'intimider l'un des candidats perdants. Malheureusement, je n'ai pas entendu la conversation, mais le langage corporel était très révélateur.
Le mandat de Rodriguez est de 52 %. Ce n'est pas beaucoup, et c'est loin d'être sans équivoque. Si l'agitation de sa campagne a influencé le résultat final, le chef sera alors en grande difficulté. Comme disent les Américains, que savaient les auteurs et quand l'ont-ils su ? L'avenir s'annonce, pour le moins, compliqué pour le chef et son entourage.
C'est pourquoi PSPP et le PQ sont déjà au paradis.
Tuesday, 18 November 2025
Rizqy c. Hinse : zones d'ombre.
Sunday, 16 November 2025
Budget 2025: The Wimps Will Abstain To Save Carney's Ass.
Saturday, 15 November 2025
Why Trump Is Finished: The Deep State Has Finally Had Enough.
Sunday, 9 November 2025
Negotiating With Trump: Albo Gets It, Carney Not At All.
Brasil: o grande erro de Lula.
Em suma, Lula é o novo Biden. Anteriormente, o presidente disse que não estava inclinado a concorrer novamente, a fim de promover a renovação política dentro do Partido Trabalhista, um elemento essencial, dado que a política no Brasil é tão polarizada entre a esquerda e a direita quanto nos Estados Unidos. Ao contrário de Biden, Lula continua com uma saúde física relativamente boa, mas, como tantos outros políticos, seu ego domina tudo. Lula está pensando mais no que é bom para si mesmo do que para seu país. É simples assim.
No contexto americano, Biden esperou demais antes de mudar de ideia e desistir da candidatura pelo Partido Democrata. Isso deixou Harris sem tempo suficiente para derrotar Trump, o demônio da direita. Seria de se esperar que Lula já tivesse percebido e, mais importante, compreendido essa semelhança.
E o mais alarmante é que Lula lidera as pesquisas, mas ainda tem um índice de rejeição de pelo menos 50%. Nunca, jamais, se concorre à presidência com números como esses. É um convite ao desastre político. Se Lula mantiver sua decisão e a direita encontrar um candidato nacional reconhecido e promissor, é provável que Lula perca no segundo turno.
Biden afundou Harris de forma mais eficaz do que Trump. Lula parece disposto a fazer o mesmo. Que Deus ajude o Brasil...
Brazil: Lula's Huge Mistake.
CPC Convention 2026 In Calgary: The Fix Is ALREADY In.
Saturday, 8 November 2025
Réforme de la Constitution canadienne : en 2025, il faudra plus que les deux dernières tentatives pour modifier la Constitution.
L'Accord du Lac Meech, également connu sous le nom d'Accord sur la coopération entre provinces et territoires du Canada, a été signé en 1987 à Lake Meech dans le Nouveau-Brunswick (Canada). Il a été conclu entre le gouvernement fédéral canadien et les gouvernements des provinces et territoires canadiens pour promouvoir la collaboration et la coordination entre eux.
Les principales conditions de l'Accord du Lac Meech sont les suivantes :
- Coopération économique : Les provinces et territoires s'engagent à travailler ensemble pour promouvoir le développement économique régional et national.
- Partenariat pour une gestion efficace des ressources naturelles : Les parties conviennent de collaborer pour gérer efficacement les ressources naturelles, y compris l'eau, la forêt, la faune et la flore.
- Développement régional : Les provinces et territoires s'engagent à encourager le développement régional et à promouvoir le développement économique, social et culturel.
- Amélioration de la qualité de vie : Les parties conviennent de travailler ensemble pour améliorer la qualité de vie des citoyens canadiens en faisant la promotion de la santé, de l'éducation et du bien-être des communautés.
- Protection de l'environnement : Les provinces et territoires s'engagent à protéger l'environnement et à préserver la biodiversité en adoptant des politiques et des pratiques durables.
- Gestion des affaires interprovinciales : Les parties conviennent de travailler ensemble pour résoudre les problèmes interprovinciaux, tels que la migration, la sécurité publique et la défense.
- Recherche et innovation : Les provinces et territoires s'engagent à soutenir la recherche et l'innovation en encouragant la coopération scientifique et technologique.
- Culture et patrimoine : Les parties conviennent de valoriser et de protéger la culture et le patrimoine communautaire en encourageant la coopération culturelle.
- Éducation : Les provinces et territoires s'engagent à coordonner leurs efforts pour améliorer l'éducation en encourageant la coopération éducative.
- Droit de veto mutuel : Chaque province et territoire a le droit de veto sur les décisions qui affectent directement ses intérêts provinciaux ou territoriaux.
L'Accord de Charlottetown était un accord global signé en 1997 entre le gouvernement fédéral du Canada et les gouvernements des provinces du Québec, de l'Ontario, de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de la Saskatchewan, du Manitoba, du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de l'Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador. Les principales conditions de l'accord étaient les suivantes :
1. Réforme constitutionnelle : l'accord visait à moderniser la Constitution canadienne en clarifiant les rôles et les responsabilités du gouvernement fédéral et des provinces, et en reconnaissant les cultures et les identités distinctes du Québec et des autres régions du Canada.
2. Arrangements fiscaux : l'accord proposait des modifications aux arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces, notamment la répartition des points d'impôt et le partage des revenus provenant des ressources naturelles.
3. Rôle du Sénat : l'accord proposait des réformes du rôle et des pouvoirs du Sénat, notamment de sa composition et de son processus d'élection.
4. Droits linguistiques : l'accord reconnaissait et renforçait les droits linguistiques des anglophones et des francophones au Canada, notamment le droit de recevoir des services publics dans la langue de leur choix.
5. Autonomie gouvernementale des Autochtones : l'accord prévoyait une plus grande autonomie et une plus grande autonomie gouvernementale pour les peuples autochtones du Canada, notamment la création d'un Institut autochtone de gouvernement public.
6. Questions territoriales : L'Accord abordait plusieurs questions territoriales, notamment le statut du Québec en tant que société distincte au sein du Canada, la reconnaissance des populations acadiennes et inuites et le règlement des revendications territoriales en suspens.
7. Union économique : L'Accord proposait la création d'une union économique entre les provinces et les territoires, y compris l'élimination des barrières commerciales et l'établissement d'un tarif extérieur commun.
8. Union sociale : L'accord promouvait l'idée d'une union sociale entre les provinces et les territoires, y compris l'adoption de normes communes pour les programmes sociaux tels que les soins de santé, l'éducation et l'assurance-emploi.
9. Renouveau démocratique : L'accord proposait des réformes des institutions démocratiques aux niveaux fédéral et provincial, y compris la création d'un système de représentation plus proportionnel et la réduction du nombre de représentants élus.
10. Mécanisme référendaire : L'Accord établissait un mécanisme référendaire qui permettrait aux citoyens de voter sur tout accord ou amendement constitutionnel futur.
Voici les principales conditions de l'accord de Charlottetown, signé en 1997 :
Modernisation de la Constitution : l'accord visait à actualiser la Constitution canadienne afin de refléter l'évolution des besoins du pays et de sa population. Il prévoyait notamment de donner plus de pouvoirs aux provinces et de protéger les langues et les cultures minoritaires.
Arrangements fiscaux : l'accord proposait des changements dans la répartition des impôts entre le gouvernement fédéral et les provinces. Il suggérait également des moyens de partager les revenus provenant des ressources naturelles.
Réforme du Sénat : l'accord prévoyait des changements dans la structure et les pouvoirs du Sénat, notamment en le rendant égal à la Chambre des communes et en élisant directement les sénateurs.
Droits linguistiques : l'accord reconnaissait et renforçait les droits linguistiques des anglophones et des francophones au Canada, y compris le droit de recevoir des services publics dans l'une ou l'autre langue.
Autonomie des peuples autochtones : L'accord prévoyait une plus grande autonomie et une plus grande indépendance pour les peuples autochtones du Canada, notamment la création d'un Institut autochtone de gouvernance publique.
Questions territoriales : L'accord abordait plusieurs questions territoriales, notamment le statut du Québec en tant que société distincte au sein du Canada, la reconnaissance des populations acadiennes et inuites et le règlement des revendications territoriales en suspens.
Union économique : L'accord proposait la création d'une union économique entre les provinces et les territoires, notamment l'élimination des barrières commerciales et l'établissement d'un tarif extérieur commun.
Union sociale : L'accord promouvait l'idée d'une union sociale entre les provinces et les territoires, notamment l'adoption de normes communes pour les programmes sociaux tels que les soins de santé, l'éducation et l'assurance-emploi.
Renouveau démocratique : L'accord proposait des réformes des institutions démocratiques aux niveaux fédéral et provincial, notamment la création d'un système de représentation plus proportionnel et la réduction du nombre de représentants élus.
Mécanisme référendaire : L'accord établissait un mécanisme référendaire qui permettrait aux citoyens de se prononcer sur tout accord ou amendement constitutionnel futur.
Et si la réponse est Non, eh bien la réponse du Québec devrait être Bye-bye !
Friday, 7 November 2025
CPC: Not Crossing But Doing Damage.
Wednesday, 5 November 2025
d'Entremont Is The First But Also The Last.
Tuesday, 4 November 2025
d'Entremont.
Sunday, 2 November 2025
Élections au Québec en 2026.
En résumé, après avoir consulté les sondages, on peut affirmer sans risque que tous les partis politiques se réjouissent que les élections n'aient lieu qu'à l'automne prochain. Le PQ serait en perte de vitesse au profit de QS. Quant au PLQ, il n'a pas enregistré d'augmentation significative de son soutien. Les libéraux semblent être dans une impasse avec l'électorat. Enfin, le parti sortant continue de perdre du terrain, le PCQ occupant désormais la troisième place dans les sondages. Il n'est pas déraisonnable de conclure que tant que le premier ministre restera en fonction, la CAQ n'aura aucune chance de revenir au pouvoir. C'est une question d'ego individuel, si vous voulez.
Aucun des partis ne semble capable de trouver la formule magique qui lui permettra de se démarquer dans les sondages. Je connais la réponse. Les élections se gagnent avec un programme positif et rassembleur, et non avec des campagnes fondées sur la peur ou l'isolationnisme. Il faut tenir ses promesses économiques en montrant que si l'on vote pour un parti en particulier, on sera mieux loti individuellement et collectivement que si l'on vote pour un autre parti. Et voilà : les Québécois veulent un pouvoir d'achat plus élevé et des impôts moins élevés. Essentiellement, comme le disait Parizeau. Le reste est secondaire. Le sentiment qui prévaut dans la province est celui du changement. Ce qui manque pour l'instant, c'est la personne qui en sera le messager. Le PLQ fait le tour des régions. Les autres partis devraient en faire autant. On recherche quelqu'un qui mérite la confiance de l'électorat. Pour l'instant, les citoyens du Québec sont encore en délibération. Le bon choix sera connu au plus tard l'été prochain.