Pour commencer, Poilièvre est un adepte de l'école de Harper. Comme l'ancien premier ministre, il reconnaît l'importance vitale pour le pays de la dualité des peuples fondateurs qui sont arrivés et ont rejoint les peuples des Premières Nations sur le sol canadien.
Harper et Poilièvre reconnaissent leur responsabilité en tant que dirigeants politiques de promouvoir les intérêts distincts de toutes les provinces et territoires du pays. C'est pourquoi Pierre a un faible pour le Québec et ses concitoyens. En outre, il reconnaissait l'importance de ses ancêtres adoptifs, les fondateurs de la Nouvelle-France. Deuxièmement, il a la chance d'aimer Ana, une personne remarquable qui n'est pas seulement trilingue mais aussi une personne de Montréal qui évoque la réalité politique et linguistique du Québec. Elle a une forte appartenance non seulement au Canada mais aussi à la réalité québécoise. Pierre n'aurait pas pu avoir de meilleur conseiller. Tout cela pour dire que le Parti conservateur fera des vagues dans la prochaine campagne électorale qui se traduira par une nette augmentation historique des sièges remportés au Québec. Le Québec sera en de bonnes mains avec Poilièvre à Ottawa. Il y aura un respect mutuel et un profond désir de répondre aux besoins fondamentaux de chaque région du pays. Ce sera un retour à un modèle de fédéralisme coopératif et flexible dans le meilleur intérêt de toutes les nations qui composent le pays.
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